GASPARD G, LE CRÉATEUR QUI A RÉCONCILIÉ LES JEUNES AVEC L’INFORMATION
Dans un paysage médiatique en perte de confiance, Gaspard G s’est imposé comme l’un des visages les plus crédibles et influents de sa génération. Depuis plus de dix ans, il construit une œuvre à la croisée du journalisme, de la pédagogie et de la création de contenu.
Avec plus d’1,4 million d’abonnés sur YouTube, il incarne cette nouvelle génération de médias : indépendante, exigeante, et profondément ancrée dans le réel.
UNE DÉMARCHE JOURNALISTIQUE, UNE APPROCHE DE CRÉATEUR
Gaspard G de son vrai nom Gaspard Guermonprez a grandi avec Internet. Dès l’enfance, il filme, monte, raconte. À dix ans, il poste ses premières vidéos sur YouTube. Quinze ans plus tard, il en a fait son métier, et surtout, une mission : rendre le monde compréhensible.
Formé à HEC Montréal, il maîtrise à la fois les codes de la communication et ceux de l’analyse politique. Ses vidéos, à mi-chemin entre le documentaire et le reportage, explorent la complexité du monde sans la simplifier.
Guerre en Ukraine, inégalités, influence des médias, crises démocratiques… Chaque sujet est traité avec rigueur, incarnation et clarté. Sa ligne directrice : parler aux jeunes comme à des adultes. Ni ton professoral, ni posture militante, mais une parole lucide et posée, accessible à tous.
UN NOUVEL ACTEUR DU PAYSAGE AUDIOVISUEL
Ce qui distingue Gaspard G, c’est son ancrage au sein du paysage médiatique contemporain. Sa chaîne YouTube n’est plus un simple espace de création : c’est un véritable média indépendant, suivi, commenté et reconnu jusque dans les rédactions traditionnelles.
Il a interviewé Emmanuel Macron, co-organisé des débats avec Le Parisien et France Info, et même intégré la matinale de France Inter en 2024 pour y proposer une chronique internationale.
En parallèle, il a fondé Intello, une agence de créateurs qui relie marques, institutions et talents à impact. Une structure devenue en quelques années un acteur incontournable de l’économie de la création, rassemblant des profils comme César (Culture G), Claire Chazal ou Stéphane Bern.
En 2024, l’agence affichait déjà plus de 2 millions d’euros de chiffre d’affaires. Une réussite qui illustre le nouveau modèle qu’il incarne : celui d’un entrepreneur du sens, à la fois créateur, producteur et stratège.
UNE VOIX QUI COMPTE POUR UNE GÉNÉRATION
La force de Gaspard G, c’est sa capacité à conjuguer crédibilité et proximité. Il parle à une génération qui s’informe de moins en moins via les médias traditionnels, mais qui cherche à comprendre le monde autrement.
Ses vidéos, montées avec soin, mêlent rigueur journalistique et narration visuelle. Le résultat : des millions de vues, mais surtout une communauté fidèle qui le suit pour la qualité de son travail, pas pour le buzz.
Sa dernière vidéo, « Comment 7 milliardaires ont racheté les médias en France », en est l’exemple parfait. En à peine 24 heures, elle cumule plusieurs centaines de milliers de vues. Le sujet est sensible, mais traité avec une précision rare : qui détient nos médias ? Pourquoi ? Et quelles alternatives existent ?
Ce ton, à la fois calme et percutant, marque sa différence. Là où beaucoup d’autres simplifient, lui éclaire.
DE L’INFLUENCE À L’IMPACT
Au fil des années, Gaspard G a dépassé le statut de “YouTubeur”. Il est devenu une voix du débat public.
Nommé vice-président de l’UMICC (Union des Métiers de l’Influence et des Créateurs de Contenu), il participe activement à la structuration du secteur et à la reconnaissance du métier de créateur en France.
Son parcours témoigne d’une conviction : l’influence n’est pas qu’une affaire de visibilité, c’est une affaire de responsabilité.
REGARD BRAND ZONE
Gaspard G incarne une bascule majeure du paysage médiatique français.
– Celle du créateur devenu média : capable d’allier exigence éditoriale et liberté de ton.
– Celle du journaliste sans rédaction : indépendant, mais rigoureux.
– Celle d’une génération qui veut comprendre, pas seulement consommer.
Dans un monde saturé d’opinions, il rappelle que comprendre est un acte d’engagement.
Et que l’influence, quand elle est portée par le fond, peut redevenir un service public.